28e rencontre de la branche Eurotax : le rendez-vous du secteur automobile
24 septembre 2015 agvs-upsa.ch – Garagistes, importateurs, assureurs, concessionnaires, fournisseurs, carrossiers et représentants de l’UPSA et du TCS : tous répondent présent à la rencontre de la branche Eurotax.
De même que la « journée des garagistes suisses » de l’UPSA, le Salon de l’automobile de Genève ou l’« Auto Zürich Car Show », la rencontre de la branche des spécialistes des données d’Eurotax compte parmi les événements annuels incontournables du secteur automobile suisse. En 2015, elle ne s’est pas tenue fin octobre comme à l’accoutumée, mais dès fin septembre.
Peut-être est-ce pour cette raison que l’événement a attiré un nombre record de membres du secteur automobile au centre Seedamm Plaza, à Pfäffikon (SZ). Les organisateurs parlent d’au moins 500 participants. Résultat : la salle était pour ainsi dire pleine à craquer et tous les sièges occupés. Il fallait être arrivé tôt pour pouvoir s’asseoir, et les retardataires ont dû rester debout.
Dans son discours d’ouverture, Heiko Haasler, directeur général d’Eurotax Suisse et hôte de la manifestation, a fait part des impressions qu’il avait récoltées la semaine précédente lors de l’IAA à Francfort. Le progrès technologique dans le secteur des automobiles l’avait particulièrement impressionné. M. Haasler a ainsi évoqué le cas d’une automobile qui vérifie l’état de santé de ses passagers et se dirige automatiquement vers l’hôpital le plus proche en cas d’urgence. Et de poser une question quelque peu provocatrice : doit-on parler ici de progrès ou d’atteinte à la liberté individuelle ?
Le premier orateur invité, Axel Berger, gérant de CarGarantie, s’est lui aussi intéressé au progrès. Ce professionnel de l’assurance arrivait tout droit de Sindelfingen, où il avait pu découvrir les dernières innovations de Mercedes, telles qu’une nouvelle protection contre les impacts latéraux qui, grâce à des caméras latérales, détecte l’impact avant même qu’il ne se produise et éloigne en un éclair le siège de la porte afin de réduire les risques de blessure. Mais M. Berger a lui aussi modéré son enthousiasme vis-à-vis des nouveautés technologiques. Il a en effet constaté qu’en dépit des techniques modernes, le nombre de dommages automobiles ne baissait pas, au contraire.
Urs Meier, ancien arbitre international de renom, était l’orateur principal de l’événement. Il a parlé des décisions qui devaient être prises, souvent sous la pression, et qui sont monnaie courante chez les arbitres. M. Meier a ensuite lancé un petit jeu qui a tenu tout l’auditoire en haleine : chacun avait à sa place un carton jaune et un rouge. M. Meier a alors montré des scènes de fautes et arrêté la vidéo avant le coup de sifflet de l’arbitre pour demander aux participants si la faute méritait un carton jaune ou un carton rouge. Son bilan de la soirée : il n’est pas simple de prendre des décisions, mais il faut quoi qu’il arrive user de son intellect et se fier à son intuition.
La 28e rencontre de la branche Eurotax s’est achevée sur une note conviviale autour d’un apéritif dînatoire composé d’excellents amuse-bouche et boissons. Chacun a pu alors faire ce pour quoi il était aussi venu : développer son réseau.
De même que la « journée des garagistes suisses » de l’UPSA, le Salon de l’automobile de Genève ou l’« Auto Zürich Car Show », la rencontre de la branche des spécialistes des données d’Eurotax compte parmi les événements annuels incontournables du secteur automobile suisse. En 2015, elle ne s’est pas tenue fin octobre comme à l’accoutumée, mais dès fin septembre.
Peut-être est-ce pour cette raison que l’événement a attiré un nombre record de membres du secteur automobile au centre Seedamm Plaza, à Pfäffikon (SZ). Les organisateurs parlent d’au moins 500 participants. Résultat : la salle était pour ainsi dire pleine à craquer et tous les sièges occupés. Il fallait être arrivé tôt pour pouvoir s’asseoir, et les retardataires ont dû rester debout.
Dans son discours d’ouverture, Heiko Haasler, directeur général d’Eurotax Suisse et hôte de la manifestation, a fait part des impressions qu’il avait récoltées la semaine précédente lors de l’IAA à Francfort. Le progrès technologique dans le secteur des automobiles l’avait particulièrement impressionné. M. Haasler a ainsi évoqué le cas d’une automobile qui vérifie l’état de santé de ses passagers et se dirige automatiquement vers l’hôpital le plus proche en cas d’urgence. Et de poser une question quelque peu provocatrice : doit-on parler ici de progrès ou d’atteinte à la liberté individuelle ?
Le premier orateur invité, Axel Berger, gérant de CarGarantie, s’est lui aussi intéressé au progrès. Ce professionnel de l’assurance arrivait tout droit de Sindelfingen, où il avait pu découvrir les dernières innovations de Mercedes, telles qu’une nouvelle protection contre les impacts latéraux qui, grâce à des caméras latérales, détecte l’impact avant même qu’il ne se produise et éloigne en un éclair le siège de la porte afin de réduire les risques de blessure. Mais M. Berger a lui aussi modéré son enthousiasme vis-à-vis des nouveautés technologiques. Il a en effet constaté qu’en dépit des techniques modernes, le nombre de dommages automobiles ne baissait pas, au contraire.
Urs Meier, ancien arbitre international de renom, était l’orateur principal de l’événement. Il a parlé des décisions qui devaient être prises, souvent sous la pression, et qui sont monnaie courante chez les arbitres. M. Meier a ensuite lancé un petit jeu qui a tenu tout l’auditoire en haleine : chacun avait à sa place un carton jaune et un rouge. M. Meier a alors montré des scènes de fautes et arrêté la vidéo avant le coup de sifflet de l’arbitre pour demander aux participants si la faute méritait un carton jaune ou un carton rouge. Son bilan de la soirée : il n’est pas simple de prendre des décisions, mais il faut quoi qu’il arrive user de son intellect et se fier à son intuition.
La 28e rencontre de la branche Eurotax s’est achevée sur une note conviviale autour d’un apéritif dînatoire composé d’excellents amuse-bouche et boissons. Chacun a pu alors faire ce pour quoi il était aussi venu : développer son réseau.
